Le temps passe et avec lui nos espoirs.
Il ne nous reste plus d'échappatoir,
Peu importe le vent sur nos visages,
L'avenir reste chargé de nuages.
Nous nous enfuyons vers nos nous profonds,
N'ayant plus en nous qu'une seule ambition,
Voir passer le temps en y survivant,
Laissant le présent passer doucement.
Toujours les rêves nous ramènent nos espoirs,
Le jour, nous voudrions y croire.
Mais à chaque fois, nous les reperdons
Et toujours davantage nous sombrons.
Petit écris de ce matin, 1h à peine, des rimes pour la plupart pauvres mais j'ai eu envie de vous en faire part.
J'en profite pour poser une petite question : Qui apprécie la poésie marchombre qu'on trouve dans les livres de Pierre Bottero ? J'avoue avoir un faible pour, bien que ca reste simple